Arnaud Daphy, directeur associé de Triptiq et « vinocamper » de la première heure, a répondu à quelques questions sur son intérêt fidèle pour ces événements.
☞ Qu’est ce qui te plait dans ces rencontres ?
Dans les Vinocamp, on parle Vin, Nouvelles Technologie et marketing. Je me sens comme un poisson dans l’eau dans ce milieu ! Avant de me reconvertir par passion dans le monde du vin en 2006, j’ai passé dix ans à travailler dans les nouvelles technologies. J’ai ensuite créé Triptiq, une société de conseil en Marketing 100% spécialisée dans la filière vin. Tous mes centres d’intérêts en un seul événement, que demander de mieux ?!
☞ Tu deviens un habitué des Vinocamp ?
Effectivement, j’ai eu le plaisir de participer à presque tous les Vinocamp depuis leur création (j’ai malheureusement raté Lisbonne). Cela devient une vraie petite famille !
☞ Le Vinocamp Lab fait mention d’un projet de veille collaborative du marketing et du vin, et je crois savoir sais que tu y es pour quelque chose et que le « marketing communautaire » te passionne…
Dès le premier Vinocamp, nous avons évoqué l’idée de créer un observatoire international du marketing du vin, ouvert à toutes les personnes intéressées par le sujet (producteurs, interprofessions, consultants, universitaires, etc…). Chacun d’entre nous voyage fréquemment de par le monde, et est amené à dénicher sur le terrain des innovations. L’objectif de cette plateforme serait d’en faire profiter la communauté.
J’ai été surpris, (très heureusement surpris ), de voir que ce sujet avait attiré pas mal de monde lors de la première session à Paris, et que cette approche semble très en phase avec le public des Vinocamps car une session sur le même sujet a eu lieu lors du 2nd Vinocamp à Beaune, avec encore plus de monde et un enthousiasme croissant.
Le temps manque un peu pour lancer la démarche, mais je ne désespère pas !
Et cette idée de Vinocamp Lab va permettre de faire avancer le projet.
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