Nicolas est depuis peu sponsor de Vinocamp mais aussi, participant ! Nous avons été enchantés de les faire rentrer dans la conversation. Aujourd’hui… les voici sur Twitter !
Cela fait presque 200 ans que Nicolas imagine de nouvelles solutions pour rendre le vin plus accessible, sa découverte plus plaisante et son expérience plus riche. Que le client soit un expert ou un néophyte, le conseil pour tous fait partie de son ADN et le moindre qu’on puisse dire est qu’ils en sont fiers me dit Corentin Layec, chargé de projets digitaux chez Nicolas.
D’abord sur Facebook :
C’est donc tout naturellement que l’équipe de Nicolas s’est intéressée ces dernières années aux réseaux sociaux. D’abord avec une page Facebook qui a aujourd’hui plus de 65 000 fans. Le recrutement s’est fait grâce à 3 jeux concours qui ont également permis d’animer la page mais aussi grâce à la PLV. Il y a eu très peu de déperdition suite à ces opérations ce qui montrent que la page répond bien au besoin des consommateurs.
Sur cette page on trouve les opérations en magasin mais aussi les fiches recettes retrouvées dans les différents établissements, des quizz, des liens avec les évènements de l’actualités et les différents service que l’enseigne propose comme le prêt de vasque. Un poste a en moyenne de 100 like sans publicité. Well done
Ce mois-ci c’est sur Twitter qu’on voit débarquer « @DisMoiNicolas ». Pourquoi ?
Ca fait un moment qu’on réfléchit à investir ce réseau. Nous nous sommes posés cette question : que pourrions-nous faire sur Twitter, qui soit réellement utile pour nos clients ? Nous sommes accompagné par l’agence RAPP sur ces questions.
Notre idée : @DisMoiNicolas, le premier service de question/réponse sur le vin en temps réel en France. Le principe : tous les internautes inscrits sur Twitter peuvent nous poser une question sur le vin. Il peut s’agir d’informations sur un vin en particulier, d’une association avec un met ou d’une demande plus large sa façon de le consommer … Nous répondons à toutes les questions, avec pédagogie et accessibilité.
Nous voyons dans ce nouveau service @DisMoiNicolas, une belle opportunité de nouer une relation avec tous les amateurs qui ne connaissent pas bien notre marque et ceux qui n’ont pas toujours conscience de la qualité de conseil qui se trouve derrière la porte de chacun de nos magasins. Nous aimerions que @DisMoiNicolas en offre un aperçu et leur donner envie de faire connaissance avec un de nos cavistes !
#Nicovin #voyage pic.twitter.com/NwPthJ4AeH
— Dis-moi Nicolas (@DisMoiNicolas) 20 Juin 2014
Qui est-ce qui est derrière le compte Twitter ?
A la fois des gens de chez Nicolas et de chez RAPP. Chez Nicolas c’est l’équipe de la communication. Nous avons mis en place un process de réponse aux questions en mettant à disposition à l’agence la grosse bible de savoir faire de chez Nicolas. Ils ont également accès aux modules de formation caviste que nous utilisons.
La fréquence des tweets et les hashtags ?
Nous sommes partis sur trois tweets par jours (sans compter les conversations) et 3 hashtags :
#NICOGUIDE : Quand nous mettons des astuces sur la consommation et la dégustation.
#NICOVIN : Quand nous proposons un vin en particulier.
#NICOFOOD : quand nous proposons des associations mets et vin.
Le mot #terroir désigne, dans la tradition viticole, l’association intime d’un sol et d’un microclimat particuliers #Nicoguide
— Dis-moi Nicolas (@DisMoiNicolas) 23 Juin 2014
La qualité du conseil chez Nicolas, un défi ?
Le savoir-faire nous l’avons depuis 200 ans. S’il est parfois critiqué, tous nos cavistes sont formés et recrutés consciencieusement. Chacun suit une formation de 4 semaines avant de rentrer en magasin puis en formation continue.
Les magasins ont aussi des partenariats avec des écoles de commerce l’été. Leur formation est plus courte mais ils passent quand même beaucoup de temps avec le gérant un mois en avant, déjà pour rencontrer le client mais apprendre les bases de la gestion d’une boutique. Si ce ne sont pas des étudiants cavistes, pour le vacataire c’est une superbe expérience et cela permet de garder tous les magasins ouverts pendant l’été. Cela fait un certain temps que ces partenariats existent et maintenant ce sont les enfants des premiers vacataires qui envoient leurs candidatures ;).
Le défi du digital c’est l’instantané mais cela permet aussi de venir chercher des gens qui n’osent pas toujours rentrer chez nous. Plus facile que le téléphone, sur Twitter les barrières tombent plus facilement.
Et cette première expérience des Vinocamps, est-ce que ça vous a aidé ?
Déjà c’est très intéressant de rencontrer des acteurs du vin à différents niveaux. C’est agréable d’échanger de manière libre sur différents sujets mais aussi très constructif. C’est pour ça que nous revenons au prochain ;).
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