Les vinotonautes, quel drôle de nom ?
Les voyageurs du vin ! Vino pour vin, “tonaute” pour voyage. Notre idée c’est que le vin c’est un peu intello. C’est un vrai voyage initiatique, tu commences un jour et tu ne t’arrêtes jamais.
Votre voyage, c’est un peu un départ en mission ?
La mission c’est de travailler sur la découverte, via la dégustation des vins bios, naturels, en biodynamie. Parce que c’est un marché qui a un vrai sens et qui est en plein boum. En même temps, on a l’impression à Paris que c’est quelque chose qui explose, mais ce n’est pas vrai partout. On veut donc emmener les consommateurs des vins traditionnels au bio, c’est la mission qu’on s’est fixée.
Quel est le plan ?
Pour réussir, nous partons sur plusieurs niveaux d’exploration :
Comment est venue l’idée ?
J’ai fait le master de l’OIV il y a 8 ans, j’ai ouvert un business de vente de vin en Corée, qui a commencé par l’éducation à la dégustation des amateurs de vins coréens… on a fini avec le plus gros magasin de vin à Séoul, très underground, branché. Le marketing relationnel a une grande place dans ce succès. Du coup je me suis dit que j’allais aider les petits vignerons à avoir une vitrine en fédérant une communauté. Je crois en la relation directe avec les vignerons, même si le vrai amateur de vin ne se déplace pas toujours.
Aujourd’hui on a 125 vignerons en France et la plateforme se lance la semaine prochaine !
Tu es confiant ?
Oui ! Les vins bios sont vendus à 40% en vente directe, 40% chez les cavistes et 5% en GMS, c’est l’inverse du circuit des vins traditionnels. Et donc toutes ces initiatives qui aideront l’éducation du public et la représentation des petits vignerons sont porteuses. Des chiffres assez structurants aujourd’hui pour avoir envie de tenter une aventure !
Bon voyage !
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