Atelier Vin & Restauration, comment améliorer l’offre ? (StarWineList/WineParis/Les Grappes)
Les principaux sujets abordés ont été les conseils en restauration, et la méconnaissance des restaurateurs qui n’ont pas de sommelier, la tendance du « Boire moins mais de meilleure qualité » ou encore la consommation locale et/ou bio en restauration. Les participants ont parlé de leurs expériences personnelles et ont mis en avant les freins à la consommation dans les restaurants comme les prix trop élevés des vins (notamment dans la capitale), la faible évolution du marché ou encore le peu de diversité sur les vins vendus au verre. Ils ont également rappeler l’importance de la formation du personnel mais aussi les efforts à faire sur la verrerie. Pas beaucoup de changement ces dix dernières années malgré les avancées de l’intelligence artificielle !
Atelier Vin & Instagram
En premier lieu apparaît ‘importance de la qualification de son audience sur Instagram : sa qualité ne passe pas forcément par la quantité de ses followers … Les participants ont aussi rappelé à quoi sert Instagram pour les viticulteurs mais également le fait que cette plateforme est elle aussi soumise à la Loi Evin, il faut donc faire attention. Une règle de base, qui vaut pour tous les réseaux sociaux est de rester en cohérence avec son identité et d’adapter son contenu en conséquence dans le but de toucher une audience qualifiée et engagée. Enfin, les participants ont également rappeler qu’aujourd’hui il n’est pas possible de vivre de sa monétisation Instagram. La plateforme offre en effet un moyen de communication intéressant pour le vin mais ce n’est pas un réseau pour vendre. Sommes-nous tous d’accord ?
Atelier Loi evin : la création d’une marque de boisson alcoolisée est-elle soumise à la Loi Evin ?
(Olivier Poulet, Avocat)
Les marques qui sortent d’une communication centrée sur le domaine ou le producteur pour aller vers des histoires, des concepts déconnectés du vin sont de plus en plus présents. Face à cette tendance, il est primordial de connaître les fondamentaux de la Loi Evin. Cet atelier a donc tout d’abord rappelé ces fondamentaux et présenté de nombreux exemples pour les concrétiser. Les participants se sont ensuite poser de nombreuses questions pour savoir ce qu’il était possible de faire notamment en ce qui concerne les noms de marque. N’oublions pas que le packaging a une vertu publicitaire, que c’est « la communication du dernier mètre » mais que celui-ci est également soumis à la Loi Evin : il ne faut donc pas mettre en avant une consommation excessive ou des vertus psychologiques ou intellectuelles. Dans tous les cas, le point clé c’est la gestion du risque : quels sont les volumes vendus ? Quels sont les circuits de distribution utilisés ? Et ne pas oublier que si la publicité est jugée illégale, le retrait du produit peut coûter très cher.
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